Valerie Daminot et moi, part II
Pour la part I, si tu es un peu en retard ami lecteur, c’est par ici.
Sinon passe directement au paragraphe suivant…
Je voulais vous raconter quand même où j’en étais de ce changement de déco. J’ai donc fini la deuxième étape : je me suis enfin décidé sur les meubles.
Après avoir arpenté tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un magasin de déco pendant deux week-end d’affilés ( samedi ET dimanche), j’ai fini comme d’hab chez notre ami suédois.
Parce qu’en fait, les désigners ont très très peu d’idée et donc que tu ailles dans une boutique où les prix sont raisonnables ou dans une boutique où les prix ne le sont pas, et ben, c’est toujours la même chose que tu peux voir. Evidemment, tout se joue sur la qualité mais mes amis n’iront pas s’approcher de mon étagère pour voir si elle est en chêne véritable. En même temps, pas besoin de s’en approcher, ça se voit à 10 m, enfin à 3 m vu que c’est à peu près la largeur de la pièce.
Et puis, ils vont pas m’emmerder. Ils devraient être contents que je les invite dans mon home sweet home, non ?
Enfin, pendant quelques jours, il n’a pas été très « sweet », rapport au fait qu’on avait juste l’impression que j’avais aménagé depuis 3 jours alors que ça fait 3 ans. Oui parce que dans mon salon de 12m², entre les nouveaux meubles et les anciens meubles qui n’avaient pas encore disparu + les cartons des nouveaux qu’il faut avoir le courage de descendre jusqu’au poubelle ( je vous avais pas encore dit que j’étais une grosse feignasse ????), c’était un peu beaucoup.
En tout cas, après un sacré coup de main de ma sœur ( qui je pense à une pitié de moi et de mes horaires de travail) et un soubresaut de forme à 23h samedi soir, mon appartement ressemble de nouveau à quelque chose. Pour 5 jours encore…
Car la part III commence samedi à 9h. La peinture…
La suite au prochain épisode !